Ramer au lever du soleil, lorsque le ciel se pare de roses, turquoises et mauves.
Ramer lorsque le lac est miroir, à peine frémissant sous la caresse d'une douce brise thermique.
Ramer lorsque les brumes matinales s'effilochent le long des Voirons et du Salève, créant un paysage fantasmagorique.
Ramer lorsque Genève, encore endormie, reçoit la lumière orange du soleil, et devient une ville du sud, blanche et dorée.
Ramer lorsque les cygnes volent à la rencontre d'un héron solitaire.
Puis plonger dans le lac, s'y laver de la sueur et des rêves de la nuit...
Booooooooooo
RépondreSupprimer